11 Oct Rien
Il n’y a rien ce soir. Ni pour moi, c’est le plus important à cette heure. Ni pour toi, c’est le plus important à toute heure. Rien à dire. Rien à sentir, à partager, à échanger, à communier même puisque le temps d’automne y est...
Il n’y a rien ce soir. Ni pour moi, c’est le plus important à cette heure. Ni pour toi, c’est le plus important à toute heure. Rien à dire. Rien à sentir, à partager, à échanger, à communier même puisque le temps d’automne y est...
Il n’est rien que je puisse penser, prévoir, craindre ou espérer sans, tout d’abord, passer par le regarder et le contempler, lui qui est au plus profond, au plus précieux, au plus essentiel de moi. Il sait mieux que moi ce qui est bon pour moi....
Puisqu’il est assez vrai, finalement, que nul ne s’intéresse plus à l’autre qu’à soi-même… Pourquoi n’oserais-je pas à mon tour ? Il y aurait beaucoup à dire, pour moi. Peu à lire pour les autres, mais quelle importance ? Peut-être qu’à travers les lignes, certains pourraient se retrouver,...
Les deux mots ne vont pas ensemble, même s’ils sonnent bien l’un à côté de l’autre… En fait, c’est peut-être cela qui me pousse à écrire, c’est leur association sonnante et arrachante. Il y a la colère, et toutes ses poussières, ses particules, ses membres et...
laisse moi te sculpter et t'irradier au plus profond de toi laisse moi agir et guider tes pas laisse ma lumière éclairer toutes tes ombres et tes doutes laisse ma passion inonder tes souffrances laisse ma paix recouvrir tes tumultes laisse ma sagesse conseiller tes actes et tes paroles ne t'en...
Il est question de vent qui, en force, racle la crète des vagues et vient mouler les creux du sable. Le sable qui forme d’autres vagues, qui ont été creusées au pied de cette dune luttant contre l’effritement général au moyen de buissons d'ajoncs et d'une...
Regard jeté au devant de toi et qui cherche à t’atteindre… Je peux en faire autant. Je peux mieux, je le sais et c’est pour cela que je m’en f… Il existe heureusement ce qu’on appelle des adjuvants ou des stupéfiants… je ne sais plus très bien....
Qu’il est apaisant, chaque matin, de te redécouvrir ! C’est - cela devrait toujours être - le premier éveil de la journée. Toi, mon Dieu, qui est à tout instant au plus intime et au plus secret de moi-même. Tu me connais mieux que je me connais,...
Comme un gant qu’on retrousse...
Serais-tu fière que cet article t’as été consacré ? Même pas peur… Tu ne sauras même pas qu’il existe. Je te vois… Hure au sol en rase mottes, les jambes carapatées de légère humeur et de rires et d’oubli. Oui, d’oubli. Idiot suis-je… Alors je préfère...